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"On respire l’air du large avec Armando Balice dans Battements de la mer, commande 2023 de l’ensemble Cairn. Le compositeur ouvre l’espace et laisse au départ fonctionner les quatre strates rythmiques jusqu’à épuisement de l’énergie ; si le bruit blanc de la vague est omniprésent, la toile sonore et la qualité du matériau se renouvellent, modifiant les espaces via d’habiles fondus enchaînés que Jonathan Prager anticipe avec la plus grande délicatesse." Michèle Tosi, ResMusica 2023
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"Olivier Lamarche nous fait vibrer avec The Light Went Out Before I Could See (2022) d’Armando Balice. La pièce fulgurante, fonctionnant sur des boucles puissantes, est traversée d’un souffle incandescent aux sombres résonances qui ne laisse pas indifférent." Michèle Tosi, ResMusica 2022
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"Empty garden, la pièce en huit mouvements d’Armando Balice (1985), interroge les notions de plein et de vide, de noir et de lumière. La pièce impressionne par ses contrastes et la profondeur de champ qu’elle découvre." Michèle Tosi, ResMusica, août 2020
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"Dans son triptyque Je t’écris (43′), Armando Balice poursuit quant à lui son cycle des « noirs ». Je t’écris emprunte au poème éponyme d’Eugène Guillevic (extrait du recueil Sphères) dont les fragments de texte dits par un comédien rythment les différentes étapes de la grande forme. La voix, celle, percutante, d’Arnaud Giovaninetti, capte notre écoute dès les premières minutes. La matière sonore est ensuite propulsée par vagues sombres et puissantes dont les surfaces accrochent la lumière, projetant sur l’écran sonore des éclats saisissants." Michèle Tosi, ResMusica, septembre 2016
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"Au fond de ce mirage noir d’Armando Balice est une oeuvre composée sur la trame du Lamento d’Ariane de Monteverdi. Fil conducteur de toute la pièce, le Lamento nous guide dans le labyrinthe des pensées du compositeur. Aussi intense que poignante, l’oeuvre bien conduite – Guillaume Contré aux manettes – ne laisse pas indifférent." Michèle Tosi, ResMusica 2015
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"Mirach, l’étoile géante rouge, inspire Armando Balice qui nous embarque dans un voyage interstellaire, poétique autant que dépaysant." Michèle Tosi, ResMusica, août 2013
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"Noir Symphonie est la seconde commande de l’édition 2017, une pièce inscrite dans « la série des Noirs » d’Armando Balice travaillant dans des registres résolument obscurs. Si la voix en surimpression, dans une première partie très dense voire saturée, ne convainc pas pleinement, la profondeur des espaces qui s’ouvrent ensuite et les fractures d’un matériau incandescent collent aux mots du poète Guillevic qui infiltrent l’œuvre et disent « la violence instinctuelle de la nature et la sauvagerie de l’homme »." Michèle Tosi, ResMusica 2017